Quatre heures sonne. Et tu as tellement faim, une faim de loup….. Au point de pouvoir avaler un boeuf entier au goûter. Surtout, ne panique pas. Don’t lose your self-control ^^” !
J’ai la solution qu’il te faut. Et tu vas pouvoir t’en mettre plein les poches. Que les choses soient bien claires, je ne parle pas de pots de vin hein. Je ne mange pas de pain là ^^”. Car les choco’s pockets sont dans la place !!! Encore.
Et oui, les chevaux sont lâchés…. Je lève le frein à main, j’enclenche les vitesses, et je passe la seconde. Je suis comme ça, quand je tiens quelque chose, je ne le lâche plus. Ma concession de Kangoo s’agrandit avec un nouveau modèle. Dernier cri celui-là ! Châssis, jante, moteur…. Tout a été refait à neuf, pour encore plus de confort. Et un maximum de sensations…..
GOURMANDES !!!!
Kan’ gooté rime avec chocolaté !
J’ai mes principes. Hors de question pour moi de faire du plagiat pur et simple. Fidèle à mes habitudes, je m’approprie la recette, que je réinterprète totalement. Pour finalement, créer ma propre version.
Tout d’abord, la pâte : pas de pâte sablée traditionnelle. Comme pour les premiers modèles (ici ou ici), j’utilise la même que mes Joyeux. Qui se plie à toutes mes excentricités. Son atout majeur : elle est sans oeufs :
- farine de blé
- levure chimique
- sucre
- eau
- beurre à la fleur de sel
Puis, sous cette carrosserie biscuitée, se cache le moteur. En chocolat. Encore une fois, j’opte pour la solution carreaux de chocolat.
Au final, la structure du biscuit reste inchangée : toujours croquant sur le pourtour, avec un coeur moelleux et fondant à la fois. Grâce au chocolat.
En revanche, côté saveurs, ça dépote….. Attachez votre ceinture parce que le choc sera rude !!! Car, cette fois-ci, c’est un choco’s pocket 100% chocolat. De la carrosserie jusqu’au moteur : une pâte à biscuit au chocolat intense, avec un coeur au chocolat biscuité.
100% Choco’s pockets : Choc’Oréo
Maintenant que le constat est établi, passons à la révision du véhicule.
Premièrement : la pâte. Comme pour les choco’s pockets pralinoisette, elle est au chocolat. Cela dit, le type utilisé diverge. Et, c’est ce qui fait toute la différence.
Contrairement au premier prototype, pas de pâte à tartiner. Mais : du chocolat praliné, ou pralinoise. En toute objectivité (sans sponsoring), j’aime bien la Pralinoise Poulain. Car :
- sans huile de palme,
- garantie pur beurre de cacao
- avec 50% de praliné
On retrouve vraiment toute la gourmandise et la rondeur d’une pâte à tartiner (dont-je-ne-veux-pas-prononcer-le-nom), mais avec plus de sensations gustatives. Et surtout, elle est plus saine !
Le distinguo ne s’arrête pas là. Afin de booster un peu le carburateur : du cacao en poudre, brut de décoffrage. C’est-à-dire : sans sucre, 100% pur chocolat. Ainsi, ses arômes puissants contrebalancent la douceur de la pralinoise, et apporte plus d’intensité à la pâte à biscuit.
Pour finir, je pimpe le tout avec un soupçon de sirop à la vanille. Ici, le sirop French Vanilla Monin, extrait à base de gousses de vanille de Madagascar. Chocolat-Vanille, une association classique certes. Mais, à mon sens, très régressive ^^” ! J’aime beaucoup l’utiliser.
Deuxièmement : le moteur. Cette fois, j’ai carrément pété une durite XD. Emportée par ma “folie créative”, j’opte cette fois-ci pour le chocolat au lait Milka Oréo. Avec ses morceaux de biscuits Oréo, il apporte une dimension supplémentaire, pour un choco’ s pocket crousti-fondant à coeur.
Finalement, ce n’est absolument pas surfait de considérer que ce choco’s pocket porte bien son nom ^^” ! Un véritable concentré de gourmandise, au goût de chocolat intense. Dans un savoureux contraste de textures. Comme le dit un célèbre chef pâtissier (un brin philosophe à ses heures) : c’est “gourmand-croquant-fondant” !
Alors, oserez-vous succomber ??
Quelques étapes en photos
